top of page

project page

Note d'intention                          

 

J'AI MAL A MON SOMMEIL
Scénographie / installation
 

Le public passe et repasse, flâne de pièces en pièces.

Durant une exposition nocturne entre 21h et 9h, de multiples spectacles expositions sonores et visuelles ont eu lieu.

 

Parmis elles «J’ai mal à mon sommeil». De petits messages suspendus au-dessus du bar et à la hauteur des yeux . Une installation pour le moins culturelle où on apprend différentes phases du sommeil tout au long de cette «nuit blanche». 

 

J'AI MAL A MON SOMMEIL
Scénographie / performance
 

"Soirée pyjama" 21h - 9h 

Le point de Bascule, Marseille 13, Février 2012.

 

Laboratoire de céation, recherches et évolution du projet sur les patologies du sommeil.
La Ciotat (13), France, 2015.

 

Somnolence                                                                        

La somnolence (stade 1) est le stade de l’endormissement (transition entre l’éveil et le sommeil) souvent précédé de bâillement. Il est caractérisé par une réduction de la vigilance, du tonus musculaire et de la fréquence cardiaque. Les mouvements musculaires sont lents (les globes oculaires «roulent»). La latence d’endormissement considérée comme normale est inférieure à vingt minutes. Au-delà, il s’agit d’une insomnie. Fait notable, la phase d’endormis- sement n’est jamais perçue, contrairement au réveil de celle-ci. L’imagerie hypnagogique a souvent lieu pendant la phase I, mais pas toujours. 

Activité Pensante                                                                

Elle se déroulerait plutôt pendant les phases de sommeil non REM. Cette ac-tivité est de nature peu ou pas sensorielle. Peu élaborée par rapport à celle de l’activité de l’éveil, elle est plus répétitive . 

Hypnogramme                                                                                             

Au cours d’une nuit de sommeil, les périodes de sommeil paradoxal s’allongent de plus en plus. Au contraire, les phases de sommeil lent profond (stades 3 et 4) se raccourcissent et disparaissent, au profit du stade 2. L’hypnogramme permet de visualiser ces différents stades.

À la fin de chaque cycle, il existe, de façon tout à fait normale, des brefs ré- veils, en général moins de trois minutes, dont la personne ne se souvient pas le matin. Cependant certaines personnes ne se souviennent que de ces éveils et croient à tort qu’elles n’ont pas fermé l’œil de la nuit. En vieillissant, les pé- riodes de réveil sont

mieux mémorisées, donnant l’impression d’un mauvais sommeil alors que la durée de celui-ci est inchangée. Lorsque surviennent des réveils inopinés, le sujet doit repasser en sommeil 1, puis 2 puis 3 et 4. Ainsi, les personnes souf- frant d’apnée du sommeil ne dépassent guère le stade 2 du fait des réveils fréquents induits par l’hypoxie. Le sommeil est donc de mauvaise qualité, res- ponsable d’accès de somnolence diurne. 

  • LinkedIn B&W
  • Facebook B&W
  • Google+ B&W
bottom of page